A Méditer
Un immense incendie ravage la jungle.
Affolés, les animaux fuient en tous sens.
Seul un colibri, sans relâche,
fait l’aller-retour de la rivière au brasier, une minuscule goutte d’eau dans son bec, pour l’y déposer sur le feu.
Un toucan à l’énorme bec l’interpelle :
“Tu es fou, colibri, tu vois bien que cela ne sert à rien”
“Oui, je sais” réponds le colibri, “mais je fais ma part”…
Pierre Rabhi (La part du colibri)
En étant végétarien, je fais ma part,
En boycottant les produits testés sur les animaux, je fais ma part,
En refusant la fourrure, la corrida, le cirque, la chasse...
En luttant contre la désinformation des lobbies, je fais ma part...
6 milliards de gouttes d'eau, ça ferait combien d'océans?
La seule chose qui ne sert à rien est de ne rien faire
La chose qui sert le plus l'exploitation et la torture est de laisser faire...
A partir du moment où l'on sait, il n'y a plus qu'un choix qui s'offre à nous. Agir ou accepter d'être complice! Alors, colibri ou toucan?
Affolés, les animaux fuient en tous sens.
Seul un colibri, sans relâche,
fait l’aller-retour de la rivière au brasier, une minuscule goutte d’eau dans son bec, pour l’y déposer sur le feu.
Un toucan à l’énorme bec l’interpelle :
“Tu es fou, colibri, tu vois bien que cela ne sert à rien”
“Oui, je sais” réponds le colibri, “mais je fais ma part”…
Pierre Rabhi (La part du colibri)
En étant végétarien, je fais ma part,
En boycottant les produits testés sur les animaux, je fais ma part,
En refusant la fourrure, la corrida, le cirque, la chasse...
En luttant contre la désinformation des lobbies, je fais ma part...
6 milliards de gouttes d'eau, ça ferait combien d'océans?
La seule chose qui ne sert à rien est de ne rien faire
La chose qui sert le plus l'exploitation et la torture est de laisser faire...
A partir du moment où l'on sait, il n'y a plus qu'un choix qui s'offre à nous. Agir ou accepter d'être complice! Alors, colibri ou toucan?
Elevage des animaux à fourrure
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Elevage des animaux à fourrure
Extrait: Des méthodes d’abattage particulièrement barbares
Les scènes d’horreur pendant la mise à mort des animaux dans les fermes à fourrure vont au-delà de ce que l’on pourrait imaginer.
La méthode la plus usitée pour tuer les renards est l’électrocution anale. Le processus consiste à fixer une pince sur le museau du renard, à introduire une barre métallique dans l’anus de l’animal, puis à envoyer une décharge électrique par l’intermédiaire d’une batterie. D’autres renards se font simplement étourdir à coups de gourdin sur la tête, comme le montre une récente investigation en Chine.
Les visons sont quant à eux gazés ou tués par injection mortelle. Des fermiers préfèrent tuer ces animaux en leur brisant le cou. Bien souvent, ces méthodes, pratiquées sur place, ne garantissent pas la mort immédiate de l’animal.
Les éleveurs de chinchillas reconnaissent qu’ils tuent les animaux en leur brisant le cou ou en les électrocutant.
Une récente investigation aux Etats-Unis a révélé des pratiques particulièrement barbares. On électrocute les chinchillas en leur plaçant une sonde à l’oreille et l’autre au pied.
Après l’électrocution, beaucoup sont toujours conscients : l’électrocution raidit l’animal, mais l’activité cérébrale ne cesse pas sur le champ. Les autres chinchillas se font briser le cou. L’opération ne prend qu’une seconde, mais les animaux se tordent sous des spasmes continus pendant de longues minutes. La mort cérébrale n’intervient pas immédiatement après la dislocation des cervicales.
En Asie centrale, les moutons karakul sont désormais élevés pour répondre au marché de la fourrure de luxe. Pour produire de la peau d’agneau (peau que l’on nomme « astrakan ») de « haute qualité », la mère est tuée juste avant la naissance de son petit et le foetus est récupéré pour être dépecé.
Une fois tués, les animaux sont généralement dépecés pendant qu’ils sont encore chauds.
Les éleveurs ont pour seul objectif de préserver la qualité de la fourrure. Ils utilisent des méthodes d’abattage visant à garder intactes les peaux, sans se soucier des souffrances extrêmes endurées par les animaux.
Lire l'intégralité du document
(Source: Fourrure Torture )
Les scènes d’horreur pendant la mise à mort des animaux dans les fermes à fourrure vont au-delà de ce que l’on pourrait imaginer.
La méthode la plus usitée pour tuer les renards est l’électrocution anale. Le processus consiste à fixer une pince sur le museau du renard, à introduire une barre métallique dans l’anus de l’animal, puis à envoyer une décharge électrique par l’intermédiaire d’une batterie. D’autres renards se font simplement étourdir à coups de gourdin sur la tête, comme le montre une récente investigation en Chine.
Les visons sont quant à eux gazés ou tués par injection mortelle. Des fermiers préfèrent tuer ces animaux en leur brisant le cou. Bien souvent, ces méthodes, pratiquées sur place, ne garantissent pas la mort immédiate de l’animal.
Les éleveurs de chinchillas reconnaissent qu’ils tuent les animaux en leur brisant le cou ou en les électrocutant.
Une récente investigation aux Etats-Unis a révélé des pratiques particulièrement barbares. On électrocute les chinchillas en leur plaçant une sonde à l’oreille et l’autre au pied.
Après l’électrocution, beaucoup sont toujours conscients : l’électrocution raidit l’animal, mais l’activité cérébrale ne cesse pas sur le champ. Les autres chinchillas se font briser le cou. L’opération ne prend qu’une seconde, mais les animaux se tordent sous des spasmes continus pendant de longues minutes. La mort cérébrale n’intervient pas immédiatement après la dislocation des cervicales.
En Asie centrale, les moutons karakul sont désormais élevés pour répondre au marché de la fourrure de luxe. Pour produire de la peau d’agneau (peau que l’on nomme « astrakan ») de « haute qualité », la mère est tuée juste avant la naissance de son petit et le foetus est récupéré pour être dépecé.
Une fois tués, les animaux sont généralement dépecés pendant qu’ils sont encore chauds.
Les éleveurs ont pour seul objectif de préserver la qualité de la fourrure. Ils utilisent des méthodes d’abattage visant à garder intactes les peaux, sans se soucier des souffrances extrêmes endurées par les animaux.
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(Source: Fourrure Torture )
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